Bienvenue à Tokyo, la capitale du Japon, ou plus de 13 474 454 habitants se croisent ici chaque jours, et chaque nuit. Le rythme Tokyoïte est parfois stressant, pressant, et pourtant, chaque année, de plus en plus d'étrangers rêvent de passer par la capitale Nipponne, pour parfaire leurs expérience, ou vivre l'expérience la plus folle de leur vie. Il faut dire que le Japon est un pays extraordinaire, tant par sa culture, son éducation, ses traditions et le bien être qui y règne. Les Japonais sont accueillants, souriants, bons vivants, tant de qualités qui font de l'archipel, la destination rêvée. Certes, vous allez vous envoler pour l'autre bout du monde, mais quelle folle aventure vous attend...
Il y a les Tokyoïtes, les travailleurs actifs, du grand PDG au vendeur de tomates sur le marché, en passant par le Cast-Member du Tokyo Disneyland. Les étudiants de Todaï University, le campus Tokyoïte, le plus réputé du pays, mais aussi les jeunes lycéens, les yeux remplis de rêves, d'espoirs et d'ambitions. Et puis il y a Eita Academy. Le phénomène de ces quatre-vingt dernières années. L'école des arts de la scène de Tokyo, qui a fait au fil des décennies, sa renommée, aujourd'hui mondiale. Eita forme les jeunes venus des quatre coins du globe, aux durs métiers de la scène, et depuis 2014, elle les produit officiellement, sous son propre label, Eita Entertainment. Une maison de production qui rafle tout en moins d'un an, avec son groupe pop le plus en vue du moment : B.A.G - Best Asian Generation. Partout ou ils mettent les pieds, ils provoquent l'hystérie, ne faisant que gonfler la popularité de l'école.
Ho tout serait bien trop beau s'il n'y avait pas une ombre à l'histoire. Celle ci se nomme Krystal. Une Gossip-Girl de talent, qui s'il fut un temps, ne s'attaquait qu'aux couloirs d'Eita, elle a aujourd'hui élargit son champs d'attaque à tout Tokyo. Son blog, dans le quel elle publie toutes sortes de rumeurs et secrets les plus intimes, est le plus visité de la toile nipponne. Krystal fait trembler la capitale, et prouve que chacun ici, de la plus grande idole à l'éboueur du quartier oublié, peu devenir un vrai phénomène de foire. C'est elle qui dirige, c'est elle qui décide qui ira haut, et qui retombera bien bas. Un conseil chers amis Tokyoïtes, surveillez vos arrières, Krystal est partout...
>>> The Dream Team
>>> Nos copains
>>> On les attend
Shia, Ryota et Liang sont là pour vous aider, n'hésitez pas à les contacter en cas de problème, ils ne mordent pas. Ils sont aidés par Rin, Erena et Heaven, la modo-team. ♥
Félicitation à Arisa, Odeline, Shia, Rin, Yoko, Ryo, Mika, Yue, Shige, Ryan, Minami, et Risa, pour leur grand cumul de points cette année! Les compteurs sont remis à zéro.
Ce moment où t'es persuadé d'avoir répondu. Mais non. Je préviens au passage, ça m'arrive souvent #PasTapey
BREF. Alors qu'avons-nous là ? (avoue tu veux que je prenne le spot de meilleur ami gay, ne mens pas je le sais #OkMaggle). Plus sérieusement j'avoue que tu me poses une colle parce que Kiki et Hiro, même s'ils ont pas mal de trucs en commun (coucou le chant, coucou le perfectionnisme, coucou le je peux continuer ma liste encore longtemps) je vois absolument pas comment ils auraient pu se rencontrer (parce qu'on va pas se mentir, l'opéra, c'est bien le dernier endroit où il aurait l'idée de foutre les pieds) donc je compte un peu sur ton feu sacré à toi, si t'as des suggestions je suis tout ouïe.
Play | Il ne devait pas être plus de 20h lorsque tu franchisas le seuil de l'immeuble vers l'extérieur, avec pour seul idée en tête que de te trouver quelque chose à te mettre sous la dent. Ton dévolu se jeta sur le combini en bas de la rue, tu espérais y trouver de quoi combler ton estomac. Des ramens, par exemple. Dehors, il n'y avait qu'une vaste pénombre édulcorée par l'effet des néons publicitaires et de l'éclairage urbain en général. Tu ne distinguais pourtant pas la masse passante à quelques mètres devant toi, cette dernière avalée par un épais brouillard qui semblait vouloir t'accueillir à bras ouverts toi aussi. Tu avançais, rapidement, te frayant en chemin dans la foule qui te bousculait, piétinant le goudron et te jetant parfois des regards indifférents, vides. Ils te semblaient tous si blancs qu'ils en paraissaient translucides et tu craignais toi aussi de faire partie de ces cadavres dont on voyait les os aux travers de la peau et les veines surlignées à l'hémoglobine autour de leurs pupilles noires. Dans le combini, c’était le grincement des pas des quelques clients qui te tenaient en alerte. Il n'y avait personne autour de toi, mais tu l'entendais, distinctement. Kwouik. Kwouik. Ça couine derrière les étalages, une plainte étouffée, légère mais persistante. Tu attrapas un paquet de nouilles, essayant de ne pas prêter plus d'importance à l'ampoule qui clignotait, clignotait au-dessus de ta tête pour finalement s'éteindre. « C'est embêtant. » Tu sursautas, fis volte-face pour te trouver nez à nez avec un homme d'une quarantaine d'année, le visage froissé par le temps et les lèvres pincés en un rictus désapprobateur. Il posa le plat de sa main contre l'étale et leva la tête vers l'ampoule, immobile et interdit, jusqu'à ce que tu t'esquives pour régler ta course et partir. Il n'y avait personne à la caisse, si ce n'est quelques bruits de pas qui semblaient venir du dehors et l'obscurité qui s'était confortablement installé dans le petit magasin. Tu tournas la tête vers le plafond, attendis jusqu'à ce que la lumière revienne timidement éclairer vos têtes et lorsque tu baissas les yeux le vieil homme était assis au comptoir, attendant visiblement que tu daignes réagir. Payer. Sortir. Dehors il y avait toujours le brouillard et la pollution qui stagnait à vos pieds et en haut des immeubles, multiples figures larges et obscures dissimulant de leur hauteur étoiles et autres astres susceptibles de vous éclairer. Il n'y avait que de l'artificiel, fée électricité qui s'incarnait en un halo jaunâtre se reflétant dans les flaques d'eaux et les vitres des autos. Bientôt ce n'était plus du brouillard mais de la bruine. Puis ce n'était plus de la bruine mais de la pluie et tu dus courir et bousculer quelques parapluies pour arriver jusqu'à chez toi avant d’être totalement trempé. La cage d'escalier était un refuge bienvenu le temps de te plaindre au monde entier du temps qu'il faisait dehors, en addition d'un selfie justifiant tous les malheurs de ton petit monde. Tout ça pour de pauvres ramens, tu soupiras en tapotant sur ton écran avant de te lever et de grimper les marches, quatre par quatre, n’aspirant désormais plus qu’à la chaleur de ton lit. Globalement il n'y avait pas grand-chose à dire sur ce selfie, semblable à tout autre. Tu y avais mis un énième filtre esthétiquement plaisant à regarder et correspondant au faible éclairage du lieu, l'orientation de l'appareil correspondait grossièrement à 75% de tes autres selfies et tu avais trouvé bon de brandir ton bonnet détrempé en signe de protestation, un des seuls éléments originales du cliché. Le second, c'est ce détail, en haut à gauche, au-dessus de ta tête ; une silhouette sombre, difficile à discerner à cause du manque de lumière. On ne perçoit clairement que sa forme et l'éclat blanc de ce qui semble être un sourire, large et plein de dents. Tu ne remarquas pas la première fois. Ni la deuxième. Jusqu'au jour où tu trouvas bon de faire le tri dans tes photos pour libérer de la place sur ton téléphone. Ce détail apparaissait alors plusieurs fois, à plusieurs occasions différentes, mais toujours plus ou moins de la même façon. Une silhouette au départ, puis de plus en plus clair à mesure que l'on progresse dans la chronologie jusqu'à un visage, des traits clairs et discernables, juste quelques centimètres derrière toi et sans que tu n'en aies rien remarqué. Plus d’une centaine de clichés et toujours cette même ombre qui plane derrière ta tête comme une promesse silencieuse. Tu as beau te retourner, surveiller méticuleusement par-dessus ton épaule, rien n’y fait. Rien ne change. T’as le sentiment qu’il se rapproche un peu plus à chaque fois. Tu as essayé d’en parler, de trouver une explication rationnelle et les vidéos sur YouTube ne t’ont pas vraiment orienté vers des hypothèses rassurantes. Il ne peut pas s’agir d’un tueur en série ? Ni d’une créature venue du septième cercle des enfers pour te hanter ? Tu es au-dessus de ce genre d’enfantillages, non ? T’as vingt ans, après tout, il en faut plus pour t’effrayer. Hein ? Hein ?
Tu poses un pied dans l’ascenseur, te glissant habilement entre les deux portes prêtes à se refermer sur toi. Tu remets ta casquette en place sur le haut de ta tête, soupirant longuement. Cette journée venait d’être l’équivalent d’un véritable Ironman et tu ne sais pas par quel miracle tu tiens encore debout, ou du moins semi-debout, appuyé contre la paroi métallique de la cabine. T’as les membres en compote et la tête qui tourne et si tu n’étais pas si obnubilé à l’idée de trouver un bon bain chaud et ton lit, tu aurais sans doute remarqué que tu n’étais pas seul. Ni que la machine venait de s’arrêter entre deux étages. « T'as peur ? » Tu lèves le nez, le temps de réaliser avec horreur que cette saleté s’était (encore) coincé. Adieu bain chaud, adieu lit douillé. Mais au moins tu n’es pas seul, pas comme la dernière fois où tu ne pouvais que faire des squats pour t’occuper l'esprit et les mains. Deux heures. Deux longues heures. Tu te tournes vers l’inconnu, un sourire qui se veut rassurant sur le bout des lèvres. Avec de la bonne humeur ça passera sans doute plus vite. Oui sans doute. Mais elle s’envole, la garce, avec ton début de rictus et toutes traces d’optimisme qui habitaient les traits de ton visage. C’est lui. Si tu ne t’étais pas senti blêmir, tu aurais juré qu’il faisait soudainement très froid. « Appelle des secours. Si tu peux. » Il te dit en tendant le bras vers l’interphone sauf que tu bouges pas, tu restes là, les bras ballants le long du corps et la bouche entrouvertes et les yeux plus ronds que des billes (un exploit pour un asiatique #CEtaitLeCommentaireRaciste#OkMaggle). Ton instinct de survie finit par se réveiller, t’écrases brusquement ta main contre les boutons sans quitter le type du regard et tu demandes aussi calmement que possible. « Vous allez pas me tuer, hein ? » Il est pas armé ? Il a pas de couteau ? Il va pas aspirer ton âme et voler ton téléphone pour se prendre en photo avec ton cadavre ? « Service de maintenance, bonsoir. Je peux vous aider ? » L'interphone grésille sous la paume de ta main. A l’aide ?
isn't he perfect ? • Le paragraphe qui va suivre contient énormément de narcissisme d’amour propre. Si vous ne supportez pas cet étalage d’affection gratuite envers soi-même (équivalent textuel du selfie), je vous prierai de passer votre chemin (qu’est-ce que vous foutez sur cette fiche de liens si vous supportez pas ça franchement les gars, vous vous êtes perdus ? Je raccompagne les boulets pauvres âmes qui se sont égarés, bouge pas je reviens.)
Ici nous parlons des héros de ce jour, les sauveurs d’Eita. Ils ont rendu la vue à des aveugles, ils ont nettoyé la surface sale et crasseuse de l’Internet par la simple apparition de leurs visages sur les réseaux sociaux, ils sont devenus saints et martyrs (alors qu’ils sont encore en vie, PARFAITEMENT), Karl Lagerfeld leur a cédé le titre d’incarnation de la mode et du bon goût, l’invention du selfie c’est eux. Partout où il y a un selfie à faire, ils y sont allés en suant sang et eau pour le bien de l’espèce humaine. Le Mont Fuji ? Fait. La muraille de Chine ? Aussi fait. La Tour Eiffel ? Classique, et fait. La surface cachée de la Lune ? Naturellement. Le couronnement de Napoléon ? Mais bien sûr, pourquoi vous posez la question. #TEsConOuBien Les artistes de notre génération, appréciez leur travail, likez leurs pages Facebook, suivez-les sur Twitter, visitez leurs galeries d’art #Instagram, parole d’ami #NoRegrets. Ah, leur lien ? Ils sont juste potes, pourquoi vous me demandez ça à moi…
you're not that handsome irl • Dans ce monde de brutes, un peu d’amour ça ne fait jamais de mal. Mais je ne parle pas de n’importe quel amour, je fais allusion aux cas biens particuliers des fanboys (toi aussi fangirl, je te vois, te cache pas et ramène ton cul ici). Il y a les cas dits « softs » où le sujet a juste une collection effarante d’images de son idole sur son téléphone (qu’il n’affichera pas parce qu’il a honte de ce qu’il est, et t’as bien raison #ShameOnYou) et aura tendance à faire des petits bruits bizarres en l’apercevant ou entendant le doux son de sa voix (qu’il reconnaitra certainement entre toutes, avec de l’entraînement #CommenceATInquieter#SiCEstTonCas#CaVeutDireQueTEsFoutu.) Et puis nous avons le cas du fanboy dit « hardcore » et ce mec nE RIGOLE PAS. VOUS ETES DES GRANDS MALADES LES FANBOYS HARDCORES VOUS SAVEZ CA ??? DES PSYCHOPATHES ??? *tousse* Bref. Hiro c’est un entredeux. Parce qu’il est assez raisonnable pour ne pas menacer la moindre personne ayant effleurée le visage de son idole de mort mais clairement pas assez pour garder pour lui ses petites crises d’hyperventilation. #RipKimShuya#BonCourage
why so cute ? • Asseyez-vous les enfants. Installez-vous. Mettez-vous à l’aise (non, mets pas tes pieds sur la table merde, c’est dégueulasse quoi #PetitCon.) Je vais vous raconter une petite histoire. Cette histoire, c’est celle d’un petit garçon, petit petit petit, qui avait un grand frère. Et ce grand frère, c’était un monstrueux fils de *censure* (insulte inappropriée dans le cas présent, le petit garçon n’irait jamais insulter sa gentille maman voyons). Il embêtait tout le temps le petit garçon, il lui brisait beaucoup ses rêves de petit enfant (je ne raconterai pas l’épisode où il lui a expliqué comment on faisait les bébés ni celui où il lui a révélé que #SpoilerAlert le père Noël existe pas #JAiPrevenu.) Le garçon n’eut hélas jamais de cadet pour se venger mais vu qu’il était le plus petit, ses parents prenaient toujours sa défense #DansVosGueulesLesAines donc il ne ressentit pas le besoin d’être méchant à son tour #LegendeUrbaine. Un jour, alors que le petit garçon était un peu moins petit par la taille et bien plus grand par son âge, il rencontra un adorable petit garçon (qui a 16 ans et qui va probablement faire deux têtes de plus que lui). Le petit garçon était tellement mignon qu’il décida de le séquestrer de l’adopter pour lui offrir l’amour que son enculé vilain grand frère ne lui avait jamais offert. Non tout ça c’est pas vrai, l’enculé des deux c’était Hiro et Alata il était juste tellement mignon qu’il a décidé d’en faire son ours en peluche en le voyant sur le campus #CaCEstLaVerite. Morale de l’histoire, pour vous les ados avec une bouille #Kawaii. Trouvez-vous un grand con avec l’âge mental d’un gamin de 5 ans et le coefficient intellectuel d’une poule morte, il vous fera votre farm de shineys sur Pokémon et il vous accompagnera à toutes vos conventions du peu que vous l’appeliez senpai et acceptiez de liker/commenter ses selfies.
we both look amazing with that b&w filter, don’t you think ? • Faites les sortir de leur coquille, les grands timides qui n’assument pas leur profil gravé par les dieux eux-mêmes dans le marbre. C’est bien mignon de #GrowingUpShy mais faut évoluer #PokemonStyle, t’es prêt à devenir un dracafeu mon frère ? Ouais je te jure, même avec tes oreilles, ça se fait, ça passe crème, comme Mixa. Comme 95% des rencontres de notre diable des samedis soirs –et pas que-, celle-ci s’est faite de manière tout à fait aléatoire et depuis le pauvre Haruto doit supporter un probable futur patient de thérapie. Du moins, c’est ce qu’il doit penser –je suppose, je ne fais que supposer- lorsque le bougre l’agresse à grand moyen de flashs et de « un visage pareil, ça se placarde sur insta » ou de « je pourrai devenir pd pour toi tu sais ». La blague n’est hélas pas toujours prise avec humour : un rire nerveux au mieux et un coup d’œil derrière pour s’assurer que ces petites mains baladeuse et taquines ne s’aventurent pas dans des régions réservées, parait-il à la gente féminine. Mais ça, franchement, on n’y croit pas. Mais alors pas du tout. Et s’il y a bien quelqu’un qui attend qu’on présente à Hiro le fameux prétendant –histoire que ça s’assume, un peu-, c’est bien la personne derrière ce foutu écran.
that cute lil' shit • En cette nuit froide et solitaire de mars, je vous le dis mes amis ; c’est la crise. Je parle pas de la crise genre je pique une crise, ni des mots que nos amis les québécois nous sortent des fois (oui je sais que c’est criss. Aah mais ta gueule toi, laisse-moi finir au lieu de vouloir étaler ta science.) Je parle de la crise #BienFat#BienEconomique#BienInflationDansTonCul#BienSale qui nous noirci le froc depuis 2008. Voir même avant. Ouais, celle-là. On la connait tous, tu la connais, je la connais, ta grand-mère la connait, ton chat Pepito la connait. Oui mes amis, je parle de la crise comme je vous dirai c’est la merde. Le souci, dans ce monde, c’est que crise ou pas, il faut survivre. Non quand même pas à la Bear Grylls, pose cette bouteille toi je t’ai pas demandé de boire ton urine (c’est pas hygiénique, franchement.) Non je parle de survivre dans son sens édulcoré, la « mignonne » survie qui consiste à remplir ton frigo et à prier pour que tu finisses pas sous un pont (aussi confortable soit-il, je maintiens que ça doit être tout juste aussi bien qu’une chambre à Formule 1 #RIPTonDos.) Pas de scorpion ou de jungles à affronter, juste des montagnes de bons de réduction dans l’espoir de gratter quelques yens chaque mois. Mais il y en a qui sont plus malins que ça, il y en a (ils ont Free) ils ont tout compris #OkMaggle. Jin Seok c’est un de ces filous-là et son arme de prédilection, c’est sa bouille de fœtus qu’on a envie de couvrir de bisous baveux jusqu’à ce que mort par suffocation s’en suive (pas top, je vous l’accorde). Il a juste eu à trouver le Pigeon™. (Bravo Captain Obvious, c’est Hiro. Comment t’as deviné ?) Mais vous méprenez pas, Jin Seok il l’aime bien quand même Hiro, c’est juste sa carte bancaire de substitution. En cas de coup dur. En contrepartie il supporte bien son affection. Demandez aux frangins Lee à quel point il est gentil le Jin Seok si vous ne me croyez pas. Un amour.
1000% done with your shit • Parmi les nombreuses études scientifiques de ce début de décennie, l’une d’elle s’est penchée sur un phénomène social absolument fascinant. Il a en effet été prouvé que lors de la formation d’un groupe d’amis, mauvaises décisions et conneries en tout genre se démultiplient au centuple. De ce chaos voit alors le jour la Maman™, une personne alors contrainte de veiller à garder son groupe d’amis en bonne santé (ou au moins en vie), le tout armée d’un sens des responsabilités extrapolé et surtout d’une exaspération naturelle prévenant l’individu d’être intégré dans toute action susceptible de causer le péril du groupe. A la différence d’une véritable maman, la Maman™ ne possède pas un esprit maternel suffisamment développé pour agir constamment en adulte et pourra également se trouver en situation à risque. En revanche, il lui arrivera souvent de nourrir ses amis, de passer derrière eux (pour les tâches ménagères, le travail, etc.), de prévenir toutes relations avec des étrangers louches et/ou de mauvaise fréquentation et ne trouvera hélas le repos qu’une fois ce beau monde entre les mains de leurs véritables géniteurs. Ce pauvre Shin a dû endosser ce rôle pour Hiro après avoir été contraint de veiller sur le lycéen dépravé qu’il était une semaine durant après une soirée un peu trop arrosée. Autant dire que ce genre d’expérience crée des liens (et peut être une légère forme d’apathie consistant à ne plus supporter les conneries du plus jeune) mais au final tout est bien qui finit bien. #HappyEnding#OuPas#BonCourageAvecLeGamin
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